Bonjour cher athlète !
Ça y est, tu es sur les rails et tu t’entraînes de plus en plus et de plus en plus dur ces derniers temps !
Mais ces temps ci tu es fatigué et tu as de moins bonnes performances que d’habitude, de petites douleurs musculaires s’accumulent et tu as une mauvaise qualité de sommeil ?
Tu es peut-être victime de surentraînement !
KEZACO ?
Le surentraînement est un syndrome traduisant l’abus d’activité sportive suite à une augmentation inadaptée du temps d’entraînement ou de son intensité.
Ce surentraînement est composé de degrés d’avancement dans ce syndrome et des symptômes s’y rapportant.
COMMENT LE DÉTECTER ?
Plusieurs symptômes se cumulant peuvent apparaître tels que :
Une stagnation voir une baisse de tes performances, une sensation de fatigue persistante, des troubles du sommeil voir des insomnies, un état dépressif ou anxieux, une anorexie ou une perte de poids, une diminution des défenses immunitaires, des sensations musculaires douloureuses, des urines brunes et des dérèglements hormonaux allant jusqu’à la disparition des menstruations pour les femmes.
Dans certains cas extrêmes on pourra arriver à une rhabdomyolyse (à placer au Scrabble) qui correspond à une dégradation rapide des cellules musculaires libérant certains produits qu’elles contiennent et qui peuvent amener tout un éventail de symptômes (douleurs musculaires, insuffisance rénales, vomissements,…) et même engager le pronostic vital.
Cependant pas de panique !
Le surentraînement n’est pas si commun que ça et il faut souvent un moment avant d’arriver aux stades les plus avancés.
Voyons plutôt comment éviter tout ça !
COMMENT L’ÉVITER
Bien sûr avant d’en arriver là tu pourras déjà prendre des mesures pour éviter tout cela telles que l’augmentation progressive du temps consacré à la pratique sportive, une surveillance des apports alimentaires de façon à faire face aux dépenses caloriques journalières et bien sûr un aménagement de ta récupération par de la récupération active, de l’automassage, une bonne hydratation,…(voir article précédent)
En cas de détection de surentraînement on comptera entre 6 et 12 semaines pour s’en remettre totalement à tous les niveaux à travers une baisse du temps et de l’intensité de l’entraînement ainsi qu’une mise en place de mesures citées ci-dessus voir d’un suivi psychologique dans certains cas.